Connaissez-vous le nouvel espace de travail collaboratif du Campus de Bron ? L'ancien lieu en sous-sol délaissé a laissé la place à un espace partagé. Découvrons-le à travers l'usage qu'en fait Naomi.
Elle vient très régulièrement dans le bâtiment des langues pour travailler dans une ambiance chaleureuse et confortable.
Naomi a commencé ses études supérieures ce mois de septembre, elle est rentrée en première année de musicologie.
Ses passions : la musique et les langues.
“C’est calme, c’est pratique... Il y a beaucoup de petits espaces de travail et de détente, c’est un lieu qui vit. Les gens sourient, on a le sentiment qu’ils sont contents d’être ici. Rien à voir avec l’ambiance de la BU”
La jeune Nimoise a trouvé rapidement ses marques dans son nouvel univers lyonnais. Elle passe ses journées entre le campus de Bron où ont lieu ses cours magistraux et le département de musicologie, sis rue Rachais à Lyon.
A Bron, lors de ses temps libres, elle file au rez-de-jardin du centre de langues pourtant éloigné de l’amphi Lumière. Elle apprécie l’atmosphère qui y règne bien éloignée de la froideur ressentie dans la BU avec la possibilité de croiser des gens et discuter.
Sa passion: la musique, elle s’enflamme quand elle en parle, elle joue du violoncelle, du ukulélé, de la guitare, du piano et pratique le chant !
Sur son téléphone (elle n’a pas d’ordinateur) sont téléchargées essentiellement des applis musicales. Elle ne peut concevoir ne pas avoir ses outils avec elle dont Perfect Ear pour travailler oreille, solfège et accord, Best Piano pour ses idées de composition.
Son autre passion sont les langues. Si elle n’avait pas choisi la musique, elle aurait étudié les langues et attend l’année prochaine pour prendre plus de langues en option. Cette année elle continue l’allemand au niveau C1. Elle apprend en autodidaxie la langue des signes via l’appli élix et le Japonais avec Duo lingo même si elle juge qu’on y apprend des mots pas forcément utiles.
Naomi est très satisfaite de son choix d’études : elle étudie autant musique savante et populaire, musique traditionnelle et électronique : l’électrofunk : comment faire sans aujourd’hui !
Elle n’utilise pas les équipements au rez-de-jardin, elle a avec elle son téléphone avec ses applis indispensables (la place est limitée), son cahier à spirales avec ses feutres de couleurs. Son casque si elle veut s’isoler.
Le grand écran ou le tableau ne lui sont pas utiles. Quand ils ont des travaux à faire en musique, cela fait du bruit et c’est plutôt chez les uns et les autres.
Pour elle rien est à changer, l’équilibre a été trouvé entre espace de travail et détente. Il y a même des prises électriques.
